"La moitié de mon travail consiste à réaliser un tableau, puis pour l’autre moitié, à le détruire, le gratter, le déchirer, l’abîmer. D’une certaine manière je peux peut-être dire que je peins avec mes tripes, c’est viscéral et cela renvoie à certaines étapes de mon existence.
Mon travail s’inscrit dans la durée ; pour atteindre l’idée que j’ai en tête, il me faut du temps, un repli solitaire, une résonnance entre un désir de matière et un désir d’ambiance." Guillaume PRAIZELIN, à la GALERIE SONIA MONTI.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire